« Je suis né sur la terre battue »
Il y a comme un paradoxe avec Dominic Thiem. On le voyait en première ligne pour déboulonner Rafael Nadal à Roland-Garros, où il compte deux demies et deux finales, et c’est à l’US Open qu’il a empoché son premier Grand Chelem, en septembre. Sur dur donc, comme pour son Masters 1000 (Indian Wells, 2019). Pas de quoi l’empêcher de revendiquer la terre battue comme habitat naturel. C’est moins flagrant ces derniers temps, puisqu’il n’a pas poussé plus loin qu’une demie après avoir touché son Graal en Majeur, vide existentiel accentué par la litanie des tournois en forme de bulle. Roland-Garros semble un endroit tout trouvé pour redonner corps à la trajectoire du 4 mondial, 27 ans. Et se souvenir des belles choses.
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