Anaïs Boileau
On dirait le Sud ! Le travail de la photographe Anaïs Boileau, 28 ans, respire tout entier la Méditerranée. Originaire de Nîmes, la jeune femme araconte-t-elle, avant d’évoquer un stage d’été prolifique avec Charles Fréger, puis une résidence de quatre mois au Design Institute de Hong Kong. Ensuite, tout s’est accéléré : la jeune artiste s’est vue rapidement confier des commandes pour la presse – portraits, reportages, paysages – et une belle carte blanche par Lancel pour les 140 ans de la marque. Elle nous présente ce mois-ci une première facette de son travail, des images très picturales créées à partir de peintures photographiées, qu’elle a initiée lors du confinement de mars 2020. explique-t-elle. Et une quête permanente d’harmonie pour celle qui voit dans sa démarche une dimension Ce mois-ci, Anaïs Boileau signe notre sujet « Jamais sans mon bouquet » (p. 108). Nous continuerons de découvrir son travail dans notre prochain numéro.
