Mascaras, les possibilités du cil
Appliquer du mascara, c’est un peu comme boire un café, un automatisme matinal pour se réveiller, cette petite brosse magique ayant le don d’ouvrir le regard instantanément. Depuis un an, ce geste a pris une nouvelle importance, rare fantaisie maquillage compatible avec le port du masque. Rien d’étonnant donc à ce que ses ventes résistent mieux que d’autres à la crise. note Mathilde Lion, experte beauté Europe de The NPD Group. La préférence va toujours aux mascaras volumateurs, même s’ils perdent du terrain au profit des mascaras recourbants. poursuit-elle. Avec la buée provoquée par le port du masque, nos yeux sont confrontés à un semblant d’atmosphère chaude et humide typique de l’Asie. constate Alexis de Brosses, le fondateur de Talika, qui adapte, comme beaucoup, ses formules au climat. Si les marques multiplient les propositions, ce n’estrépond-il. Il faudrait qu’il puisse s’ajuster comme un caméléon aux différentes attentes et aux différentes typologies de cils (longs, courts, droits, recourbés, fins, épais), ce qui n’est techniquement pas possible aujourd’hui. Et pourtant, depuis un siècle et demi, les innovations n’ont pas manqué.
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