Martin Heidegger Sa drôle de guerre
Ces s’inscrivent dans la suite des – traité de 1936, publié en 1989, et tenu pour être le deuxième « grand livre » de Heidegger après Le philosophe allemand approfondit, parfois ressasse, dans ces « cahiers de travail » en partie rédigés pendant ses insomnies, les questions qui le travaillaient, notamment le fait que la violence de la modernité (ou « des temps– le mot signifie aussi en allemand courant « manigance », « machination », « manipulation » –, ce qu’il nommera après la guerre « arraisonnement » – et qui se traduit notamment par la planification organisationnelle de toutes choses, par l’idéologie de l’efficience recherchée pour elle-même et par la domination de la pensée calculante (malheureusement rapprochée par Heidegger de la figure du , pensée qu’il oppose
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