Société LGBT : Les gays ont marqué l’histoire en voici les preuves
Les philosophes de la Grèce Antique
De 750 à 500 avant notre ère, l’homosexualité n’était pas considérée comme un acte de déviance, mais apparaissait plutôt comme l’un des résultats culturels des peuples de la Grèce archaïque.
Etre homosexuel en cette époque n’avait rien à voir avec un choix, mais relevait plutôt d’un caractère initiatique, pédagogique, marqué par des rituels religieux et militaires. La cité grecque était régie par la loi des hommes. Du pouvoir étatique aux coutumes quotidiennes, la femme était exclue de toute initiative. Dans ce contexte exclusivement patriarcal, l’homme plus âgé devait transmettre le patrimoine et les traditions de la Grèce aux plus jeunes. Avec l’ambition d’inculquer à son disciple toute sa morale et toute sa vertu, et dans un sentiment pédagogique proche de la duplication, l’adulte faisait de son autre, son semblable. De manière générale, l’adulte se mariait vers trente ans, avait des enfants et travaillait énormément pour la consolidation de son foyer. S’il ne s’agissait pas véritablement d’homosexualité, un homme ne pouvait s’afficher ouvertement aux côtés d’un autre homme au sein de la cité grecque, mais s’entichait secrètement de plusieurs relations extraconjugales avec son ou ses disciples.
Alexandre le Gland ?
Sans conteste, il demeure l’un des conquérants les plus importants de l’histoire. Alexandre poussait l’ambition jusqu’à son paroxysme, c’est d’ailleurs l’une des raisons de sa perte. Son intention était de conquérir le monde entier.
Mais ce que les historiens mettent un peu moins en avant, c’est l’homosexualité présumée d’Alexandre le Grand. Si dans l’histoire, aucun écrit ou aucune personne n’a
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