Marielle Rossignol Toristas
Pouvez-vous nous raconter votre parcours de photographe ?
La photo n’est pas mon métier principal. Je suis depuis une dizaine d’années chargée de communication dans le secteur du spectacle vivant. Je travaille pour un tiers-lieu culturel à Montpellier qui s’appelle la Halle Tropisme. Mais c’est la tauromachie qui m’a fait prendre l’appareil en main. J’ai commencé à photographier les arènes de Céret en 2010-2012, et j’ai tout de suite ressenti de l’appétit pour ce médium. Parallèlement, à mon travail, mon directeur a vu que je pratiquais et aimais ça. Il m’a alors confié un appareil que j’utilise pour mon activité professionnelle.
Comment vous est venu cet intérêt pour la tauromachie ?
