AU NOM DU PÈRE
“JE REGARDE CE QU’ILAACCOMPLI ET J’ESSAIE D’EN TIRER DES LEÇONS.IL ESTTOUJOURS LA RÉFÉRENCE POUR MOI. J’ADMIRE SA CONSTANCE ET LA FAÇON DONT ILA GARDÉ LES PIEDS SUR TERRE.”
‘‘J’AIME TOUTSIMPLEMENT LA COMPÉTITION, J’AIME LA COURSE ET LE COMBAT RAPPROCHÉ. SI VOUS RÉALISEZ UN TOUR PARFAIT EN QUALIFICATION ET QUE VOUS GAGNEZ LA COURSE, CE SENTIMENT EST INDESCRIPTIBLE.’’
C’est une courte vidéo qui a cartonné sur les réseaux sociaux. Elle date de l’année 2000, et on y voit Michael Schumacher faire découvrir les rudiments d’un petit kart à un blondinet tout juste âgé de 1 an. Le temps a passé, le blondinet a grandi et il disputera en 2021 sa première saison de Formule 1. Avec un tel pedigree, on pourrait conclure que ce n’est là que pure logique. Grâce à la notoriété de son patronyme, la facilité pour aspirer les budgets et capter l’attention du paddock, c’était couru d’avance.
Pas sûr. Car si un nom célèbre ou prestigieux peut s’avérer un précieux passeport, il n’est pas forcément accompagné du talent nécessaire pour faire « comme papa ». Certes, Mick Schumacher n’est pas le premier « fils de »
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits