Le plein de super(s)
“Pas de collant, pas d’homme volant.” C’était le mantra de l’équipe créative de Smallville, la première série significative de ce siècle à être basée sur un comic. Racontant l’adolescence de Clark Kent (Tom Welling), la série avait été conçue pour se terminer à l’instant où il deviendrait Superman. À l’époque, il y avait cette idée qu’une cape, un bonhomme qui vole, ou même le mot “superpouvoirs” repousseraient les spectateurs.
Vingt ans après, les geeks se sont emparés de la planète, et le monde de la télévision a toute la place qu’il faut pour un tas d’hommes et de femmes en collants. Portées par l’explosion du nombre de diffuseurs ainsi que par des changements radicaux dans ce, un crossover tentaculaire regroupant des dizaines de héros de séries passées et futures. Avec son immense éventail de personnages, de noms de code, de pouvoirs, de jargon technologique et d’univers parallèles, cette série n’aurait jamais été possible à l’époque de .
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