“Je compose souvent mes pièces les unes par rapport aux autres, ainsi je crée comme des paysages, où les éléments, les influences, se complètent, se mélangent, se confrontent.”
Dans l’ancien atelier de couture parisien qu’elle a investi il y a quatre ans, Kalou Dubus pratique le tour, le travail à la plaque, monte ses pièces, stocke ses terres, modèle, émaille, cuit. Parcourir les étagères de son studio, c’est observer un tableau. Les contrastes y sont saisissants. , explique-t-elle. Les rayonnages de son atelier témoignent de la pratique libre et spontanée de la céramiste entamée six ans plus tôt.