Les petits prix à l’essai
Les différentes technologies
Dans ce dossier, on retrouve un panaché de transmissions automatiques aux principes de fonctionnement bien distincts.
■ La boîte à variation continue, ou CVT: une courroie (ou une chaîne) relie deux poulies. Sur chaque poulie, deux “flasques” coniques mobiles s’éloignent ou se rapprochent l’une de l’autre, de façon à faire varier en continu le diamètre de l’axe autour duquel la courroie s’enroule, créant ainsi une infinité de démultiplications. Très douce à l’usage, la CVT reste généralement associée à des petits moteurs. En contrepartie de sa grande progressivité, elle engendre souvent la sensation que le moteur “mouline” à haut régime à l’accélération, ce qui peut dérouter.
■ La boîte à double embrayage: son principe est proche de celui d’une boîte manuelle à engrenage, dont l’embrayage aurait été robotisé. Sauf que, pour plus de , 3 , 5 …), l’autre aux rapports pairs (2 , 4 , 6 …). Lorsque l’une est en prise, l’autre pré-engage déjà le rapport suivant. Au changement de vitesse, l’un des embrayages s’ouvre, et l’autre se referme simultanément. Ces boîtes, très en vogue, concilient couramment rapidité et économie à l’usage, mais elles sont lourdes et coûteuses, et peuvent engendrer des à-coups en manoeuvres.
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