Il a dit
« qui a dressé un tableau bien sombre de la situation financière de ses ensembles par ces temps de Covid-19, le, a-t-il expliqué, en relevant que si ses mécènes privés étaient « toujours là », ils n’ouvraient « pas leurs poches pour l’instant ». « Je ne suis pas du tout chauvin, mais quand on pense que les arts tels que le ballet, l’opéra, la musique moderne et la musique classique sont des choses que nous exportons en Europe et dans le monde entier et qui rapportent énormément à l’Angleterre, et que notre gouvernement ignore ce fait… Moi je suis un peu mieux placé que la plupart de mes musiciens car je suis aussi fermier et éleveur de vaches et de brebis, mais avec le Brexit, cela risque de devenir très compliqué », a prédit Sir John Eliot, désormais admiratif – il ne l’a pas toujours été – du statut français d’intermittent du spectacle, plutôt protecteur pour les artistes qui en relèvent.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits