GP d’Emilie-Romagne

LA 7 ^E  SYMPHONIE DE MERCEDES

  car le Néerlandais était parvenu à s’intercaler entre les Flèches noires jusqu’à son abandon, à 13 tours de l’arrivée, sur l’éclatement d’un pneu arrière. Ce n’était bien sûr qu’une trophée mondial consécutif, ce qui n’avait jamais été réalisé en F1. Si Bottas, encore une fois auteur d’une jolie pole position qu’il n’a pas pu convertir en victoire, a été handicapé par un problème de fond plat sur sa Mercedes (une pièce étrangère coincée dessous), Hamilton a soigné la manière pour apporter la consécration promise.