Dans le Wisconsin, Trump promet « la loi et l’ordre »
En visite à Kenosha, le 1 septembre, le président a assimilé les manifestations et les violences à du « terrorisme intérieur ».
Un mois après la rébellion à Kenosha, une odeur de brûlé continue de flotter sur la ville. Sur la 22 Avenue, le glacier The Good Taste n’est plus qu’un tas de ruines calcinées. A l’entrée, seule la vieille machine à bonbons en métal a résisté aux flammes. Partout, dans les rues de cette stationbalnéairede100000 habitants, le même spectacle de désolation : là, une trentaine de carcasses de voitures brûlées sur un parking; ici, des commerces barricadés par des planches de bois, des messages de paix graffés sur les murs. Mais (Kenosha fort) ou inscrits sur les façades de la ville ne trompent personne : pendant quatre jours, à la fin du mois d’août, Kenosha a vécu l’enfer.
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