LES BONS GARÇONS
PAR PIERRE ADRIAN.
ÉD. DES ÉQUATEURS, 269 P., 19 €.
Rome, été 1975. C’est la fin des vacances, les jeunes s’ennuient ferme, cherchent des bêtises à faire. Il traîne dans les beaux quartiers avec Luca, Gabriele et Matteo, des « mauvais garçons de bonnes familles ». La bande finit par accueillir deux gamines, Raffaella et Maria Grazia, issues d’un milieu moins huppé. Les malheureuses ont la naïveté d’accorder leur confiance à ces mufles bien nés. Une nuit, ils les emmènent à une fête dans une villa mauresque perchée sur le mont Circeo – la légende raconte que c’est là qu’avait débarqué Ulysse, là que Circé avait transformé ses marins en porcs. Mauvaise surprise pour Maria Grazia et Raffaella: la maison est déserte, et les types deviennent violents. Mélanger alcool et amphétamines à haute dose n’a jamais aidé personne à progresser dans la maîtrise de soi. Page après page, ça tourne au cauchemar. Qui en sortira vivant?
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