Tests antigéniques : le grand flou
À Paris, les barnums fleurissent devant les pharmacies. Un prélèvement dans le nez et, quelques minutes plus tard, le test antigénique de détection du coronavirus livre son verdict. Quelque 17 % des officines d’Île-de-France, et 3 000 dans le pays, proposent désormais ces tests peu coûteux (prix d’achat de 5 à 6 euros en pharmacies) et simples d’utilisation. « Environ 10 000 estime Philippe Besset, président de la Fédération des pharmaciens d’officine. Sans compter les centres mobiles de dépistage qui s’installent devant les entreprises, dans les gares ou les aéroports ; et les commandes passées par les présidents des Régions Île-de-France et Sud, en pointe dans après celles des masques.
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