ARRIEN ET LA PARRÊSIA D’ÉPICTÈTE
Oct 29, 2020
1 minute
J.M.
Auditeur assidu des cours d’Épictète à Nicopolis, Arrien de Nicomédie (85-146 ap. J.-C.) devint par la suite un proche dedit avoir recueilli avec soin les paroles d’Épictète. En témoigne la lettre d’envoi adressée à un certain Lucius Gellius, dont les éditeurs se sont servis en guise de préface au premier livre des : [hupomnêmata] [parrêsia] ». Épictète analyse la des cyniques (III, 22) dans un chapitre difficile qui retint l’attention de Michel Foucault à la toute fin de sa vie parce qu’il permet de pointer, par-delà les divergences, les liens de proximité entre le franc-dire cynique et la roide franchise d’Épictète. Toutes deux ont leur origine dans la figure tutélaire de Socrate.
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