À Évreux, cette radicalisation que personne n’a vue
Oct 18, 2020
2 minutes
PLANA RADENOVIC
Envoyée spéciale Évreux (Eure)
Des vélos d’enfant sont appuyés contre les barrières de l’entrée de cette petite cité HLM à l’allure proprette. Trois immeubles de quatre étages enserrent une cour centrale. C’est ici, au premier, que vivait Abdoullakh Anzorov, le Tchétchène de 18 ans qui a décapité avant-hier le professeur d’histoire-géographie Samuel Paty.
Derrière le rideau rose de l’une des fenêtres du bâtiment voisin, une résidente. Pourtant, elle raconte la façon dont la fratrie Anzorov – Abdoullakh et ses cinq petits frères – lui depuis l’arrivée de la famille dans le quartier il y a quelques années. observe-t-elle.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits