Une histoire qui roule
Depuis le premier volume paru en 1984, jusqu’à Extinctions aujourd’hui, chaque titre du Transperceneige a bénéficié d’un style graphique différent, était-ce intentionnel ?
. Le fait que ne se soit pas bien vendu à l’époque m’a donné une liberté absolue, etque j’ai commencé à trouver mes marques avant de totalement m’affirmer avec le quatrième volume, Le dessin « abstrait » du premier peut paraître osé aujourd’hui dans le cadre strict de la bande dessinée. Mais pas autant que cela si on le replace dans l’histoire du dessin, puisque c’est ce que faisaient Goya ou Rembrandt, par exemple. En BD, on a habitué les gens aux dessins scolaires, illustratifs. Je suis sûr et certain que le public est capable d’aller vers un dessin plus exigeant.
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