Le Journal du dimanche

La reprise est amorcée !

A près le déclassement de l’Île-de-France de zone rouge en zone orange, le Premier ministre a annoncé jeudi toute une série de mesures permettant la reprise de nombreuses activités. Voici les principales.

Les terrasses vont fleurir

Heureusement, la météo est estivale. En région parisienne, passée de zone rouge à orange, les bars, cafés et restaurants vont rouvrir uniquement leurs terrasses (pour ceux qui en ont) à compter de mardi. Afin d’accueillir davantage de clients, et donc être à peu près rentables, les établissements qui en feront la demande pourront être autorisés à étendre gratuitement leurs terrasses sur l’espace public, voire à en créer une. À Paris,, explique Olivia Polski, adjointe d’Anne Hidalgo chargée du commerce et de l’artisanat. , complète Jean-Louis Missika, chargé de l’urbanisme. Les patrons devront respecter une charte de bonne conduite garantissant la circulation piétonne, la tranquillité des riverains, la sécurité de la clientèle et la propreté des rues. Certaines rues étroites et pourvues de nombreux établissements pourront aussi être interdites aux voitures entre 19 heures et 22 h 30 – – pour y installer des terrasses : par exemple rues Lepic, des Abbesses, Daguerre, Richard-Lenoir, du Commerce, boulevard de Belleville, place des Vosges, canal Saint-Martin, de l’Ourcq ou encore dans le Marais, ainsi que l’a indiqué hier.

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.

Plus de Le Journal du dimanche

Le Journal du dimanche5 min de lecture
Christine Kelly Sommes-nous de trop ?
Charles est mon ami. Je suis très touchée par son parcours À 42 ans, il est atteint de la maladie de Charcot. Tout perce à travers son regard. Vif. Lucide. Intelligent. Son sourire se dessine ou s’estompe pour traduire ses pensées. Charles est assis
Le Journal du dimanche1 min de lecture
Mots Fléchés
Solution
Le Journal du dimanche2 min de lecture
Atos Le duel Layani/Kretinsky
On a rarement vu une entreprise, qu’on dit si mal en point, aiguiser autant les appétits… Il faut croire qu’Atos, au-delà des pertes accumulées par le groupe (4,9 milliards d’euros de dette), possède par ailleurs des actifs et savoir-faire intéressan

Associés