VISITE D’UN GRAND RÉSEAU HO LE TRAIN EST UN SPECTACLE, le modéliste un metteur en scène…
QUELQUES ANNÉES DE TRAVAUX PLUS TARD, AU MÊME ENDROIT, LE PALATINO DESCEND SUR DIJON.
Yann Baude : Bonjour Jean-Luc. Ton réseau est connu de certains lecteurs qui se souviennent sans doute de ta gare inspirée de celle des Laumes-Alésia (LR 752) et pour la reproduction du viaduc de la Combe Bouchard, à Velars-sur-Ouche (hors-série 58 Ponts et viaducs en modélisme). Raconte-nous les débuts de cet ambitieux projet.
Jean-Luc Bobier : J’avais à disposition, dans le pavillon que j’habite, une pièce au sous-sol de dimensions appropriées, soit 3,60 x 8,00 m, avec un objectif : restituer au 1/87 une tranche de vie des grands trains du réseau Sud-Est sur l’Artère Impériale à l’époque précise de l’apogée de la ligne. Pour cela, il me fallait de toute évidence pouvoir stocker et faire circuler un nombre important de trains.
YB : Et donc, tu as choisi un réseau en tour de pièce ?
LA GARE, VUE DU CENTRE DE LA PIÈCE. SOUS LES VOIES DE COULISSES CACHÉES, LE POSTE D’AIGUILLAGE, LES POSTES DE CONDUITE DES TRAINS, ET LES RANGEMENTS DES PIÈCES DÉTACHÉES.
J-L B : Ce choix s’est imposé, inspiré d’ailleurs par de nombreuses réalisations publiées dans Loco-Revue dans les années 70 et
