« LES PLAQUES ET LES VIS TIRENT SUR LES MUSCLES OU BLOQUENT UNE ARTICULATION. MAIS, DANS LES AIRS, JE SUIS COMME LA MAISON »
out commence par une lettre adressée au journal. L’auteur écrit qu’il a lu, dans Paris Match, un sujet sur Alexis Pinturault, leader du ski alpin. S’il loue le talent de «notre champion national », il attire notre attention sur un autre skieur, un as du freestyle, son petit-fils, « détenteur de divers titres mondiaux, médaillé olympique qui se remet à la compétition avec un courage exemplaire après un très grave accident ». Le texte est signé « Jean-Marie Rolland, un grand-père omniprésent ». Interpellés, nous contactons Kevin Rolland. Surpris, ému par le geste de Jean-Marie, il nous confirme qu’il a repris l’entraînement neuf mois seulement après avoir frôlé la mort.
A 30 ans, Kevin Rolland a toujours une bouille d’adolescent et le look qui va avec : casquette vissée sur la tête, sweat et jeans baggy. Le garçon grimpe quatre à quatre les
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