Pas de tube, pas de musique?

Le sous-titre de cet article n’est pas de moi, mais un slogan publicitaire d’un magasin de Montréal, slogan que je trouvais assez audacieux. Ce qui m’appartient, c’est le point d’interrogation à la fin de la phrase et qui change tout! Pas de tube, pas de musique, ça peut être vrai, mais que dans certain cas! On conviendra donc d’adoucir le slogan et d’écrire à la place Des tubes, de la musique, en pensant dans certain cas seulement! Pour les sceptiques et les pourfendeurs malicieux des tubes, il faut préciser que la grande majorité des instruments, durant un spectacle, sont presque toujours amplifiés par des amplis à tubes et que certains studios célèbres continuent de se servir de cette technologie pour parfaire les sons qui sortiront du studio. En tenant compte des caractéristiques particulières des amplis à tubes, et en acceptant seulement une lutte fraternelle entre le transistor et le tube, on peut décrire un appareil et le recommander, ou du moins, susciter l’envie d’en découvrir les sonorités.

Peut-on paraphraser dans qui dit et s’en servir lorsqu’on parle des appareils d’amplification à tubes? Eh bien, je me le permets et j’introduis ma comparaison qui veut que si, en général, on trouve beaucoup de produits égaux, il y en aura en électronique. Autrement dit, si les amplificateurs à tubes sont nombreux dans le domaine de la très haute-fidélité, les très bons appareils sont par contre plus difficiles à sélectionner. Comme quelques autres manufacturiers, américains, se place dans le peloton de tête des créations de renommée mondiale à tubes, puisque cette entreprise a été fondée grâce à l’union de et de , au milieu des années 1970. Le préamplificateur naît en 1977 et l’amplificateur suit en 1978. s’impose dès lors sur le marché international. Parlons maintenant du sujet de cet article, le que nomme .