De l’érotisme comme de la danse
Au cinéma comme en littérature, il y a les oeuvres dont l’érotisme est évident, direct et impudique. Il y a celles qui empruntent des chemins détournés, et dont on ne sait pas trop pourquoi elles nous émoustillent. Et puis, il y a celles étranges, tordues, presque malsaines dont on ressort soi-même étonné des sensations qu’elles provoquent. Boulevard de la mort (Death proof, en anglais) est tout cela à la fois.
A VOIR Quentin Tarantino,
Boulevard de la mort (Death Proof), Dimension Films et autres, 2007.
sanglant, il est tourné à l’ancienne, et emprunte la structure d’un , sous-genre cinématographique rattaché au film d’horreur mettant en scène un tueur éliminant un par un les individus d’un groupe. La première partie du film se
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