Michaël Fribourg Nouvelle épopée industrielle
Dans les couloirs du siège parisien de Chargeurs, un plateau niché sous les toits d’un immeuble de l’avenue Kléber, on voit passer des gens avec des valises-cabine et des sacs de voyage patientant à la porte des bureaux. Voilà qui ne sent pas l’immobilisme. Le patron de ce groupe implanté dans les niches de la protection temporaire de surfaces, les textiles techniques et la laine peignée de luxe n’est pas le dernier à sillonner le monde. Un jour à Shanghai, le lendemain à New York, où il supervise le chantier de ses futurs bureaux, pour enchaîner avec la Patagonie, où il possède presque tous les élevages de moutons… A 37 ans, on encaisse bien le décalage horaire. « Je passais récemment à Penn Station, en pleins travaux, et qu’est-cePas peu fier, Michaël Fribourg s’applique depuis cinq ans à donner au groupe qu’il a racheté une véritable envergure internationale.
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