QUAND JE PENSE À LÉONORE
Jan 23, 2020
2 minutes
Les poètes de l’amour ont de tout temps célébré, glorifié ou dénigré leurs maîtresses réelles ou imaginaires, des muses tour à tour gracieuses, inflexibles, fidèles, volages, divines, fourbes… Les élégiaques Catulle et Tibulle ont étalé leurs amours tumultueuses, l’un avec Lesbie et son moineau, l’autre avec Délie et, par récréation, avec Juventus et Marathus. Au troisième livre de ses élégies, Properce finit. Des siècles de poètes amants et, dans ce voluptueux cortège, aucun poète époux ?
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits