Trouble emploi…
teve qui? Si, de ce côté de l’Atlantique, ce sexagénaire ne jouit pas d’une notoriété débordante pour qui ne s’intéresse que de loin à la politique américaine, il en va tout autrement aux États-Unis où il apparaît depuis quelques années comme le grand épouvantail de la presse progressiste, celui par lequel le mal nationaliste est arrivé. Quel “homme de l’ombre” pourrait se targuer d’avoir fait l’objet, rebaptisé pour le marché français, fait ainsi suite à d’Errol Morris, dont il est pour ainsi dire le parfait complément. Ainsi, face au mode profil plus biographique de l’un, l’autre veut privilégier le travail de témoignage et d’observation, un procédé que revendique à plein sa réalisatrice Alison Klayman. De la dénoncer? Évidemment. Au risque de lui offrir une tribune inespérée? Elle veut croire — et espérer — que non.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits