Roman

Au cœur d'une planète cerné par les élus, les chaos , et les violences inter-humaines sont les caractéristiques majeures d'une nation déséquilibrée cependant, l'écriture associée à une lecture instructive doivent être une solution satisfaisante pour la progéniture actuelle. En partant de ces traces ; des jeunes poètes élèvent des cris foudroyant et des interrogations qui se résument par les airs mais qui n'ont pas besoin des vagues stupides, pour frissonner d'avoir compris.   Un cri sacré est le cri d'alarme qu'un poète lance dans son agonie des mots pour protester puis accusé les sanglots de son expiration. Eh bien ! Les cris d'un poète en sanglots sont les cris d'angoisse et d'horreur infinie pour essuyer les larmes invisibles et xénophobe de la nation .

Drag cititor, cartea dată îți va oferi povestea de viață a unui tânăr în calea iubirii și succesului. A fost inspirată pe fapte reale și împărtășită pentru a dovedi că viața poate lua întorsături în orce secundă. Linia de subiect se bazează pe capacitatea umană de a lua decizii pe moment și a obține scopul dorit, însă este prezentat și viciul uman ce ne face să fim niște ființe vulnerabile in fața instinctelor primare. Trebuie să ne ascultăm inima fără a lăsa garda minții jos și a fi invadați de regres. Toate aceste momente sunt surprinse pe parcursul evoluției personajului principal, oferind o analiză profundă asupra intelectului uman. Descrierea momentelor este realizată într-un mod artistic pentru a surprinde atenția cititorului. 

Mes racines  explore le parcours tumultueux de François Lébène Koffi, un franco-ivoirien dont le comportement malsain envers la terre ivoirienne est mis en lumière. Sous l'influence bienveillante de son entourage et de ses parents, François subit une transformation profonde, choisissant finalement de renouer avec ses racines, marquant ainsi un voyage émotionnel et culturel captivant. Né de père naturellement ivoirien et de mère française dans la ville de Toulouse , ville située dans le Midi de la France au nord du département de la Haute-Garonne, sur l'axe de la communication entre la Mer Méditerranée et l'océan Atlantique, François Lébène Koffi est un adolescent de 12 ans qui éprouvait un amour inconditionnel à l'endroit de la terre qui lui ait ouvert grandement ses bras .C'est ici que j'ai connu le jour, c'est ici que mes yeux ont découvert les couleurs de la vie, c'est ici que mon pied a fait ses premiers pas, c'est ici que mes mains ont touché l'atmosphère, c'est ici que mes narines ont aspiré le parfum des saisons qui régissent ce pays ( l'automne, l'hiver, l'été et le printemps).   Ici c'est chez moi !! S'exprimait ainsi en ce sens le natif Toulousain qui parfois s'insurgeait contre les propos des personnes qui essayaient de lui montrer une partie de ses origines. Lébène Koffi refusait catégoriquement qu'on lui relate l'histoire du pays d'où son géniteur provenait.  Quelques fois bien qu'il soit petit, il ne tardait pas à mesurer ses points à celui des hommes âgés, ceux là-même qui se permettaient de lui signifier qu'il avait du sang africain qui coulait dans ses veines . Ses oreilles étaient allergiques au mot nègre qui trouvait sa définition dans la négritude ou en d'autres termes le nègre ( homme noir ayant une culture noire) . Il maudissait souvent le jour où son père lui avait attribué le prénom de Lébène Koffi . Si je pouvais avoir la possibilité de retirer ces horribles appellations sur mon extrait de naissance, cela me réjouirait le cœur .  Se larmoyait t-il parfois . Son amour était tellement accolé à la France au point où constamment il ne tarissait pas d'encenser les atouts de ce cadre qu'il qualifiait de nirvana. Le bambin empochait une poignée de raison au passage en trouvant la France comme un cadre paradisiaque car selon les statistiques, ce pays compte parmi les nations les plus visitées au monde plus particulièrement en Europe. Ainsi, en 2014 d'après une enquête réalisée par la direction générale des entreprises (DGE), on dénombrait plus de 83,7 millions de visiteurs sur ce sol. Par ailleurs, la diversité de ses paysages, la grande variété et diversités de ses sites, la richesse exceptionnelle de son patrimoine historique, artistique et culturel, sa position géographique et son climat ont fait d'elle le premier pays touristique mondial. D'ailleurs , l'une des villes de ladite nation s'inscrit dans cette révélation.

Mes chers compatriotes !  C'est avec un sentiment de bonheur relatif, teinté de mélancolie que je vais m'adresser à vous, ce matin. Je voudrais avant tout, que nous observons une minute de silence à la mémoire de ceux que l'on pourrait concevoir, à tort ou à raison, comme des martyrs d'une civilisation qui refusent de se soumettre à la loi de l'irréversibilité. Avant de vous donner lecture des résolutions concrètes issues de vos recherches fort enrichissantes, permettez que je vous fasse partager ma vision des choses.  Je sais que la vérité absolue n'existe pas parce qu'elle procède par annexion de champ étranger. C'est-à-dire que la vérité d'aujourd'hui, n'est pas celle d'hier et ne sera vraisemblablement pas celle de demain. Ce qui a fait dire au philosophe que « l'on ne se baigne pas deux fois dans la même rivière ».  Même si la vérité, par extraordinaire venait à être une, n'ayons pas peur de la regarder en face. Elle nous rougira, certes, les yeux mais ne les crèvera pas. Pire, même si elle se trouvait entre les cuisses de notre mère, n'ayons pas peur d'aller la chercher avec l'organe approprié pour l'extirper. L'histoire du monde nous enseigne que chaque peuple a sa spécificité. Cette authenticité fait la fierté que l'on éprouve à affirmer notre identité. Beaucoup de nos pratiques ancestrales ont fait leur mue dans le temps.  Elles se sont mises à l'école du temps comme le dire les Anciens. Beaucoup de nos parents que nous adulions ont aussi tiré leur révérence. Le temps a eu raison d'eux. À la mort de certains, on pensait ne pas pouvoir survivre à cette disparition. Pourtant, nous avons survécu. Nous avons même fait et réaliser des projets, après eux. Nous avons retrouvé le sourire. Même si nous ne les avons pas oubliés, nous continuons de vivre avec leurs souvenirs. C'est aussi pourquoi on entend dire que la vérité est un autre nom de Dieu. Dans des régions de notre pays, en des temps que beaucoup d'entre nous, n'avions pas vécus, il y avait eu des sacrifices humains. Des gens ont été enterrés vivants pour accompagner des rois.  Ces actes dans leurs époques avaient été considérés comme une juste expression de notre organisation sociale, politique et spirituelle. Ces exécutions ne souffraient d'aucune ambiguïté, ni de contrariété, encore moins, de contestation.