Cet épisode a été réalisé grâce à la complicité de la communauté resserrée @ouestlebeau rassemblée sur Patreon pour un nouveau paradigme : https://www.patreon.com/podcastouestlebeau
Après vous avoir parlé de mon switch total de perception du travail de Gaudi (épisode 196), voilà l’épisode dédié à la Casa Vicens, la première grande commande architecturale de l’architecte libertaire.
Dans cet épisode je partage avec vous mes ressentis lors de ma découverte de cette maison, en plein cœur du quartier de Gracia à Barcelone. Je l’ai visité en février dernier et pour moi le choc a été énorme ! 
Je détaille les extérieurs, l’intérieur, sa vision et surtout je témoigne de ce phénomène très particulier qui est arrivé dans cette maison : la voir en image et la visiter en vrai ne m’a pas du tout procurer les mêmes sensations !
Il faut le vivre pour le croire... et c’est pour ça que j’ai eu envie de faire cet épisode car je suis de plus en plus persuadée qu’à force d’être toujours derrière un écran, nous avons développé des réflexes de « c’est beau, c’est pas beau » complètement déconnectés de ceux que l’on peut ressentir en vivant l’espace.
La casa Vicens a tellement été un choc pour moi à ce niveau là, que je vais tenter d’explorer cette philosophie dès que ce sera possible... nous serons tous touchés par des choses différentes (et heureusement !) 
En revanche, laissons nous surprendre car parfois, contre toute attente, celles et ceux qui sont inspirés par un autre niveau de conscience du vivant, pourraient nous emmener à découvrir de nouvelles facettes de nos goûts esthétiques, de nouvelles prises d’affects que nous ignorions avoir jusqu’à présent. Vous m’en direz des nouvelles...!
Très bonne écoute !

>> SUIVEZ MOI SUR INSTAGRAM @ouestlebeau
>> Pour écouter les épisodes : Apple Podcasts, Spotify, Deezer et sur le site de HOME Magazine 48h avant tout le monde !
>> Inscrivez-vous à la NEWSLETTER pour recevoir (2x mois) le beau dans votre boite mail
>> CREDITS 
Où est le beau ? est un Podcast créé et réalisé par Hélène Aguilar
Edition et montage : Marine Kergrohen
Identité graphique : Catherine Sofia