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C’est la plus grande vague de régularisations depuis l’administration Obama, alors même que l’immigration constitue, avec le coût de la vie, le premier sujet d’inquiétude des électeurs américains. Joe Biden a, ces permis de séjour permanents qui finissent le plus souvent par ouvrir droit à la citoyenneté américaine. Dans la même veine, le président démocrate a promis d’accélérer les procédures de délivrance de permis de travail pour certains étrangers ayant étudié aux États-Unis. Seuls seront exclus les migrants, considérés par le département de la Sûreté intérieure comme . Une petite concession qui n’a pas calmé l’exaspération du camp républicain. Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, proche de Donald Trump, a ainsi parlé d’ . Ajoutant à son argumentaire un point très développé dans les meetings de Trump : Le speaker républicain a d’ores et déjà annoncé son intention d’attaquer le décret présidentiel en justice. Donald Trump a promis que ce texte d’amnistie serait dès le premier jour de sa présidence. Mandat qui sera marqué, promet-il, par l’expulsion de plus de 11 millions d’étrangers et la construction de dizaines de centres de détention pour migrants à travers le pays.