l y a des lettres dont on connaît chaque ligne, ou presque, telle celle-ci, écrite par Franz Kafka à son ami le poète Max Brod (1884-1968) : « Mon très cher Max, ma dernière volonté : tout ce qui se ses journaux, ou encore Mais il ne suffisait pas de contredire les instructions de son ami, il fallait aussi sauver tous ces textes épars des mains des nazis, puis, une fois installé à Tel-Aviv, les éloigner des conflits moyen-orientaux. C’est cette course contre la perte que relate aujourd’hui Léa Veinstein dans (Flammarion), alors qu’on fête le 100 anniversaire de la mort de l’écrivain praguois, à l’âge de 40 ans.
Kafka l’immortel
Jun 12, 2024
1 minute
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