Ils avaient été interdits de 1886 à 1951 par les autorités canadiennes qui cherchaient alors à assimiler les autochtones. Hérités d’une s’ouvrent désormais au grand public, moments d’affirmation culturelle et de partage entre les communautés. Les danseurs s’affrontent dans un grand cercle symbolique avec leur le costume traditionnel, coiffés de plumes ou de pics de porc-épic : mocassins et clochettes aux pieds, ils virevoltent, marquent des pauses, se regardent, sautent en l’air. L’un imite le foin qui bouge, l’autre la perdrix dans la forêt ou le guerrier qui s’accroupit, se relève, épie… Les tambours grondent pour faire entendre le cœur de ces peuples qui existent toujours, au milieu de stands d’artisanat proposant des bijoux en perle, diverses peaux et capteurs de rêves. Le de Wendake, début juillet, attire des représentants des communautés autochtones de tout le continent. glisse Félix, 20 ans, fils d’une Huron-Wendat et d’un Québécois francophone, preuve de leur popularité grandissante auprès de la jeunesse. Des se distinguent par leur ambiance familiale, à l’image de celui de Manawan, dans Lanaudière, en août. Le festival Présence autochtone à Montréal en fait également partie, du 6 au 15 août.
SUR LA ROUTE DES POW-WOWS
Jun 09, 2024
1 minute
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