![f0098-01.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/3dmd4sb7uocj0zu9/images/fileCVV0URZ8.jpg)
ès les premières notes, et surtout dès que la voix fait son entrée, c’est comme une réincarnation. Quelque part entre Curtis Mayfield, Marvin Gaye, Smokey Robinson et David Ruffin. Avec ce falsetto maîtrisé, ce timbre velouté, ce murmure qui caresse et qui swingue en même temps. Et cette tonalité si vintage. Étonnant d’entendre un artiste chanter de cette façon aujourd’hui. ”, précise Jalen Ngonda. Le ton posé, sûr de lui, le style chic, un peu à l’ancienne (veste en tweed bien ajustée, col roulé noir), le chanteur s’est imposé sur la scène musicale en rendant hommage à l’époque bénie de la Motown et de la Stax, celle de la fin des années 1960 et du début des années 1970. Des références qu’il assume clairement. Rien de très actuel