Le 10 avril dernier, chez Alfa Romeo, on n’était pas peu fiers de lever le voile sur le dernier-né de la marque, un petit SUV baptisé Milano. Comme toujours, cette appellation n’était pas le fruit du hasard mais celui d’une consultation auprès de clients potentiels. Seulement voilà, choisir le nom d’une ville italienne pour une auto produite en Pologne, cela n’a pas plu au ministre italien de l’Industrie. Dans un signe d’apaisement, Alfa Romeo a donc décidé, quelques jours après le lancement, de renommer son bébé Junior. Des anecdotes comme celle-ci, l’histoire de l’automobile en est truffée. En effet, baptiser une voiture n’a rien d’une sinécure. Entre les problèmes de prononciation, de traduction ou même de droits, les constructeurs s’arrachent souvent les cheveux avant de trouver le patronyme ‘’qui va bien’’.
Auto et “géo”, un mariage qui cartonne…
Donner le nom d’une ville à une auto, cela n’a pourtant rien de nouveau, le spécialiste du genre étant Seat. Depuis