Est-ce le retour du fameux « axe du mal » popularisé par George W. Bush en 2002 pour justifier, l’année suivante, l’invasion de l’Irak ? Vingt ans plus tard, cette dialectique est de nouveau à l’ordre du jour pour décrire l’alliance de circonstance entre la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord, depuis le début de la guerre en Ukraine.
Si Joe Biden se garde encore d’utiliser ces trois mots, dans le camp républicain, l’expression fait florès : « Il existe un axe du mal dans le monde : la Chine,, a martelé Mitch McConnell, chef de file du Parti républicain au Sénat. , a repris Nikki Haley, ex-candidate des primaires républicaines aux États-Unis.