Au Palais Galliera, les images de mode de Paolo Roversi s’offrent comme des fables visuelles. Aux cimaises, ce ne sont pas des vêtements de marque qui se déploient mais d’infinies luminescences. Avec Peter Lindbergh ou Sarah Moon, le photographe italien, installé de longue date à Paris, de sa chambre, sur le visage du père, et confie que En art, on parle de « peintres de la lumière ». Les polaroïds de Paolo Roversi procèdent, eux, d’une urgence : exprimer le Les visages et les corps stellaires de ses modèles réverbèrent non pas l’impermanence de la mode, mais la permanence d’une lumière intérieure dont l’écho se trouve au repli de l’enfance.
Les intimités lumineuses de Paolo Roversi
Feb 29, 2024
2 minutes
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