Déjà disponible aux moyens régimes grâce à son premier turbo, l’italienne déguerpit comme une gazelle une fois la deuxième turbine en action.
n tente de fuir le désordre de la région parisienne. Une Quattroporte, ça se savoure à haute vitesse, avec si possible de la place devant pour jauger les reprises phénoménales de son V8 biturbo. Est-ce que je m’attendais à une telle fougue? Absolument pas. Elle qui vient de passer une petite demi-heure à ronronner aimablement dans les embouteillages de l’A4, embrayage docile et levier de vitesses coopératif à l’appui, me flanque une belle raclée. Déjà disponible aux moyens régimes grâce à son premier turbo, l’italienne déguerpit comme une gazelle une fois la deuxième turbine en action. Elle lui souffle fort dans les bronches, avec un bon coup de pied au derrière. Que les ayatollahs de l’atmosphérique ne me jettent aucune pierre: oui, la montée en régime