Et si Macron ne souhaitait pas de dauphin ?
Eric Debray, Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine)
A peine Gabriel Attal nommé Premier ministre que la question de la succession d’Emmanuel Macron se pose. Certains commentateurs le présentent même comme le dauphin désigné par le chef de l’Etat. Or un constat s’impose : depuis quarante ans, aucun président sortant n’a démontré une envie folle de voir un candidat de son camp lui succéder, comme si chacun voulait, consciemment ou non, demeurer le seul président de