a scène est digne d’un film de gangsters. La nuit du 8 novembre, dans un restaurant huppé de la capitale Astana, privatisé ce soir-là, un couple se dispute. Violemment. La femme de 31 ans est battue à mort par son mari, qui l’achève d’un coup à la tête. L’époux tente aussitôt de maquiller le meurtre à l’aide de son cousin, appelé à la rescousse pour dissimuler le corps véreux avait déjà été condamné à dix ans de prison pour corruption en 2018, et gracié in extremis en 2019 par l’ex-président Noursoultan Nazarbaïev, juste avant la démission de ce dernier. Il est aujourd’hui accusé de meurtre et risque une peine de huit à quinze ans de prison.
Un féminicide atroce alerte sur le machisme ambiant
Jan 10, 2024
2 minutes
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