Aline Beaucaire est de ces femmes auxquelles on donnerait volontiers le bon Dieu, mais seulement après confession. Ou après aveux, si on préfère. Le récit autobiographique qu’elle livre à l’attention d’un fonctionnaire de police décrit une trajectoire de vie fort sinueuse, depuis sa naissance à Wittelsheim en Alsace jusqu’à sa liaison avec, le film de Julien Duvivier. Comme souvent, la fatalité a bon dos, il ne manque qu’un air d’orgue de barbarie pour accompagner sa complainte :
Une femme peut en cacher une autre
Jan 07, 2024
2 minutes
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits