À l’âge où d’autres jouent avec des cailloux, ce sont des diamants que Valérie Messika fait rouler sur ses doigts nus avant de les glisser dans leurs écrins. Rue La Fayette, dans les bureaux de son père, André Messika, diamantaire réputé sur la place de Paris et même au-delà, elle apprend à 10 ans à les trier par teintes, par tailles. « Parti de rien, c’est lui qui a aiguisé mon œil
