C’était le 2 novembre 2002. Un joueur de dix-huit ans, originaire de Serbie, dispute son premier match sous le maillot français et se permet même d’inscrire en lucarne, dans les dernières secondes, le but libérateur des Bleus vainqueurs de la Russie (25-23) en demi-finale de la défunte Coupe mondiale, à Göteborg. Vingt-et-un ans plus tard, [de l’anglais , le meilleur de tous les temps, ndlr], résume le trentenaire Timothey N’Guessan, qui joue arrière gauche comme le grand Nikola. À lui seul, Karabatic pèse trois titres olympiques (2008, 2012 et 2021), quatre mondiaux (2009, 2011, 2015 et 2017) et trois européens (2006, 2010 et 2014). Et l’on omet volontairement toutes les médailles d’un autre métal que l’or et ses podiums en club, au risque d’une litanie de chiffres.
La dernière ruée vers l’or
Nov 05, 2023
2 minutes
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