Sur les chaînes Telegram russes, on en exulterait presque. « Ce désordre est bénéfique pour la Russie, car le crapaud mondialiste sera distrait de l’Ukraine et s’emploiera à essayer d’éteindre l’éternel feu du Moyen-Orient », réagissait, dès le 7 octobre, jour de l’attaque du Hamas contre Israël, l’animateur télé russe Sergueï Mardan.
Enlisé depuis plus d’un an et demi dans une guerre en Ukraine dont il peine à trouver une issue, Vladimir Poutine voit dans l’embrasement au Proche-Orient une occasion inespérée de conforter son