Lens (Pas-de-Calais), le 26 août
Patrick Tissier, qu’elle considérait comme un ami et qui s’avéra être un redoutable tueur en série, pourrait demander une libération conditionnelle en septembre prochain. “Il y a un mois, j’ai rêvé que je le massacrais”, confie cette mère endeuillée, dont l’enfant est morte de la pire des façons. L’auteur de ce crime atroce, Jocelyne le rencontre en 1992 au sein de la communauté mormone de Perpignan dont elle fait partie. L’homme se montre “gentil, serviable et très poli”, décrit la désormais septuagénaire.