Voix puissante, démesurément sensuelle. Pulsation électrique. Reine de l’image. Le monde ne saurait plus se passer de Dua Lipa. Et la mode non plus.
Main dans la main avec Donatella pour une collection Versace, sublimant les jackets et les mini-jupes vinyles de Nicolas Di Felice, le surdoué qui a repris la maison Courrèges, s’appropriant le pop ludique de GCDS par l’Italien Giuliano Calza (devenu l’un de ses meilleurs amis), inoubliable en robe Jacquemus transparente au mariage du créateur, la chanteuse et désormais actrice brille sur tous les tableaux.
Mais de Londres à Paris il n’y a qu’un pas – ou un train : on murmure que Dua, qui ne fait plus mystère de son couple avec le réalisateur Romain Gavras, passerait beaucoup de temps en France… À l’aube de ce nouveau chapitre, en préparation de son troisième album, tout en distillant ses goûts, ses conseils et des podcasts dans sa newsletter Dua Lipa: At Your Service sur la plateforme Service95, le temps semblait venu de réexplorer l’aventure de l’une des icônes pop les plus magiques de notre temps. Parfait slick hair, teint de clean girl, créoles dorées et boyfriend’s tee-shirt : sur son canapé, Dua a la classe tranquille. Et elle est prête. Toujours prête.
Nous sommes en 2023. Où étais-tu il y a 10 ans ?
Oh… J’avais 18 ans. Je vivais à Londres, ville quittée de mes 11 ans à mes 15