ed Bull a archi-dominé la première moitié de la saison de F1. Mais derrière l’écurie autrichienne, la hiérarchie a beaucoup évolué en quatre mois. Aston Martin, Ferrari, Mercedes et McLaren ont à tour de rôle endossé le costume de “deuxième force du plateau”. Si les fluctuations de performances dépendent parfois des caractéristiques des voitures, plus ou moins rapides en fonction du type de circuit, elles résultent surtout des évolutions apportées très régulièrement par les équipes. Le budget maximal autorisé empêchant désormais d’introduire des nouveautés à chaque course – ce serait trop coûteux –, les écuries établissent un planning d’amélioration, avec différentes méthodes. Deux grandes tendances s’opposent ici. Soit apporter des nouveautés au compte-gouttes, soit préparer un “package” complet. Mercedes a profondément modifié la carrosserie de sa monoplace à partir explique Andrea Stella, directeur de McLaren.
