ans les salles d’audience du tribunal de commerce de Paris, situé sur l’île Saint-Louis, c’est presque devenu une habitude. Depuis plusieurs mois, les dirigeants d’enseignes de prêt-à-porter françaises et leurs avocats défilent pour demander le placement de leur entreprise en redressement judiciaire ou en procédure de sauvegarde. Des recours qui peuvent aller jusqu’à la liquidation dans le pire des cas. Camaïeu, Kookaï, Gap, Pimkie, Don’t Call Me Jennyfer, Burton of London… Pas une semaine sans qu’une marque ne lance un appel à l’aide en direction de la justice commerciale. Dernières victimes en date :
Crise du textile : à qui le tour ?
Jul 13, 2023
3 minutes
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits