82 ANS, RÉGIS DEBRAY CONTINUE son mea culpa. Il a compris que les questions esthétiques comptent plus que les errances idéologiques. Dans (Gallimard), il dresse ainsi une statue à la gloire de Julien Gracq, selon lui « le patron » des écrivains: « Passer, débarquant de Paris, une journée à Saint-Florent-le-Vieil, avec ce pince-sans-rire, cet enchanteur réticent, ce placide récalcitrant, c’était comme changer d’époque et de fuseau horaire, en sorte qu’il
Julien Gracq est-il toujours le patron?
Jul 06, 2023
3 minutes
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