e ne suis plus actif », jure-t-il machinalement, sans trop se soucier d’être convaincant. Depuis sa défaite aux législatives il y a un an, Richard Ferrand a quelque peu érodé son principal argument pour se défendre de toute influence et de toute ambition. Est-on réellement inactif lorsque l’on déjeune régulièrement avec des membres du gouvernement, que l’on demeure l’un des rares à jeter un pour un troisième mandat présidentiel ? Elysée, ministères, bureau exécutif de Renaissance, Paris, la Bretagne… Ferrand est à la fois partout et nulle part.
« Si le président l’appelle… »
Jun 22, 2023
2 minutes
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits