Édifié par l’architecte Henri de Dion à partir d’une parcelle de la galerie des Machines de l’Exposition universelle de 1878, il témoigne de l’architecture industrielle du XIXe. Quant à son parc, il invite encore à d’autres temps, à celui d’André Robillard et d’Alexis Forestier. « ». Aideen Halleman, directrice du Hangar Y, rappelle la mission terrestre de ce dernier qui est de « ». « » L’artiste indien Subodh Gupta a repris la forme du hangar en casseroles et ustensiles de cuisine et convie en son intérieur à de véritables déjeuners concoctés par lui lors de l’inauguration puis par d’autres. Créée in situ, son oeuvre côtoie une installation tout en Plexiglas reflétant la nature et en clochettes tintinnabulantes de Christian Boltanski. Le banc de Sarah Lucas se prête à la pose au son des réalisées par l’IRCAM. À chacun de choisir son plan d’envol. Deux autres bâtiments conçus par les architectes Urban Act accueillent pour l’un, L’Atelier à la programmation plurielle, l’autre Le Perchoir Y autour du chef Guillaume Sanchez.
