La bonne nouvelle dans le foisonnement anarchique des nouvelles formes d’intelligence artificielle (IA) est l’existence d’un consensus sur leurs dangers. Ce ne fut pas le cas des réseaux sociaux pour lesquels il a fallu dix ans d’exploitation toxique pour réagir.
Lors de son audition devant le Congrès américain la semaine dernière, Sam Altman, cocréateur et PDG d’OpenAI – dont le ChatGPT a rallié 100 millions d’utilisateurs en quelques mois – a